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Sentences
15 juin 2009

Ilan, Ilane

référence:



Salut. je vous remercie pour ce site merveilleux qui nous renseigne sur la signification des prenoms hebreux.
J'ai une preocupation, c'est que le 1er de ce mois est née ma fille et voudrai-je lui donner le prenom hebreux:ILANE qui selon le site signifirait "arbre".
Je voudrais savoir plus sur ce t'arbre: son sens spirituel, si vous voyez ce que je veux dire.
s'il vous plais j'attendrai votre reponse car elle me tient beaucoup à coeur. MERCI PA AVANCE ET A BIENTOT.


REPONSE:

Bonjour,
vous me prenez "sur le fil du rasoir" comme on dit
car je m'en vais pour plusieurs mois
où je n'aurai pas de connection net

donc voilà, je vous indique des pistes de réflexion, je n'ai malheureusement pas le temps de faire un "synthèse" comme j'aime à en faire habituellement
disons que Ilan a un rapport évident avec la justice, et la victoire, et principalement la VIE et sa signification profonde, entre autre fertilté et l'atteinte des plus hauts degrés de développement spirituel


voyons le "détail"

regardez:

Fêtes juives : le Nouvel An des arbres

dimanche 12 février 2006, par Suzanne Millet

"Nous sommes en pleine fête de la Nature, comme si nous avions retrouvé le vieux symbole idolâtre de "l’arbre sacré" !", s’exclame le Dr A.C. Merzbach. Toute sa réflexion sur Tou-Bichvat (nouvel an des arbres) explique "qu’un nouvel An des arbres ne peut se concevoir dans le Judaïsme que comme un repère pour une Halakha, pour une loi thoraïque".

Il est vrai qu’on peut lire dans la Bible en Lévitique 19/23 que, dès leur arrivée en terre de Canaan, les fils d’Israël planteront des arbres fruitiers, mais pendant trois ans on ne mangera pas de leur fruit... Le 15 Shevat, fête qui se célèbre entre la fin janvier et la mi-février (cette année le 13 février) est le bon moment pour le plantation, enseignaient les sages du Talmud : la terre a reçu la plus grande partie des pluies d’hiver, elle est dans l’attente de celles du printemps. Cette fête dont il est fait mention dans la Michna servait à délimiter la mise de côté de la dîme de l’année écoulée et la séparer de l’année à venir.

Fête d’action de grâces pour les fruits de la création. Ce caractère festif se développe en Diaspora au 16e siècle. "Nostalgie, sans doute, de la terre promise, si lointaine dans l’espace mais si proche dans la mémoire du cœur", écrit Rina Geftman Cette fête fut introduite sur la terre d’Israël par les Cabbalistes à Safed au 16e siècle. Ils l’ont intitulée "jour de la dégustation des fruits". On mange des fruits et on en apprécie la saveur. On jouit des fruits de l’arbre qui sont la nourriture de l’homme, et cette jouissance nous fait collaborer avec Dieu dans l’acte même de la Création.

Enfin, le Nouvel An des arbres prit un nouveau tournant au vingtième siècle avec le retour du peuple juif en Palestine. Les pionniers sionistes, dès 1910, plantèrent d’innombrables arbres dans les terrains qu’ils avaient préalablement défrichés et asséchés. Aujourd’hui le KKL, le Fond National d’Israël, favorise la plantation de forêts dans tous le pays. Cette fête fut l’occasion de resserrer le lien du peuple avec la terre en le faisant participer aux plantations. Comme le dit le Docteur Merzbach : "Tou bi-Shevat, c’est la joie du peuple retrouvé qui se renforce pour l’avenir en respectant son passé."

Et en 2006, le parti politique Kadima a annoncé qu’il allait planter 50 000 arbres dans le Néguev, selon le nombre de ses adhérents. David Ben-Gourion se réjouirait ! De nombreuses classes d’écoles iront également planter des arbres ce jour-là. On mangera partout des fruits secs, même à la banque... Et le marché semble ne vendre plus que des fruits secs et non secs en ce jour.

Des kibboutzim de Galilée avec un groupe de rabbins pour les Droits de l’Homme planteront des oliviers dans le village arabe de Kfar Salem, en geste de réparation des oliviers coupés (tronçonnés) par des juifs extrémistes. Ecoutons les voeux de Rina Geftman aux arbres : "Bonne et heureuse année. Puissiez-vous ne plus jamais servir à des fins de guerre, ni être détruits par la haine des hommes, mais puissions-nous (vous, arbres de toute espèce, et nous, hommes de toute provenance) vivre en paix ensemble et nous inviter "sous la vigne et le figuier", comme l’annonça le prophète Zacharie (3,10)."

source

« Comme un arbre planté près d'un courant d'eau, qui donne ses fruits en leur saison, dont les feuilles ne se flétrissent point; tout ce qu'il fera réussira.» (Psaumes I, 3)

Au cours des générations les kabbalistes se sont appuyés sur l’exemple du développement de l’arbre pour nous décrire le processus emprunté par l’homme: du début jusqu’à sa fin, lorsqu’il parvient à produire des fruits spirituels doux et juteux. Au 16ème siècle, Tou Bi Shvat disposait d’une signification particulière pour les kabbalistes de Safed, il était de coutume de se revêtir de vêtement de fête, de décorer la table de fleurs et de rameaux de myrtes,  d’y placer du vin et des fruits, et la nuit était consacrée à l’étude du Livre du Zohar.

Tou Bi Shvat est décrit comme une fête symbolisant le point culminant, les fruits, auxquels toute l’humanité doit et peut accéder.

Le fruit espéré

Tout au long de nos vies, nous nous fixons des buts et espérons qu’en les atteignant nous serons heureux. Le fruit, la récompense, qui se tient devant nous nous semble attirant, et ce jusqu’à ce que nous fassions de nombreux efforts pour y arriver. Nous passons de nombreuses années à construire une carrière, nous fondons une famille, nous travaillons dur pour vivre, nourrir nos enfants et leur assurer un avenir.

Lorsque l’on observe nos vies, nous voyons que nos aspirations changent constamment : le fruit de la veille se transforme aujourd’hui en un nouveau but, qui déjà ne semble plus aussi séduisant qu’hier. Il semblerait que les choses désirées et acquises ne nous satisfassent plus. De plus, une chose inconnue en nous ne nous donne pas de repos, elle nous pousse à constamment rechercher un fruit plus grand et incomparable.

Le Rav Yéhouda Ashlag (Baal HaSoulam) décrivit merveilleusement ce processus. Il écrit que l’homme ne connaît pas encore le beau et sublime fruit qu’il se doit de rechercher; c’est pourquoi, il lui semble que tout son univers est limité à la réalisation d’objectifs provisoires, qui ne seront pas satisfaits. Cependant, quand il entendra parler d’un fruit doux, arrivé à maturation et comment parvenir à saisir ce fruit, l’homme ouvrira les yeux et verra le monde spirituel de lumière qu’il peut atteindre.

Croissance - mode d’emploi

Tout au long de l’histoire, les kabbalistes se sont efforcés d’adapter la sagesse de la Kabbale pour l’époque à laquelle la génération serait prête et que la sagesse devra se dévoiler aux quatre coins de la terre: notre époque.
Le Rav Baruch Ashlag (le Rabash), le fils et le continuateur du chemin tracé par le Baal HaSoulam nous a laissé un mode d’emploi pratique et simple pour parvenir à une meilleure vie. Dans un article le Rabash décrit clairement l’évolution de l’homme à celui d’un arbre. Il décrit en détail et clairement toutes les étapes à traverser dès l’instant où l’homme prend en charge sont développement spirituel, moment où la graine est semée en terre, jusqu’au moment où les fruits de l’arbre seront mûrs, c’est-à-dire lorsque l’homme atteint le plus haut degré spirituel.

Préparer le sol

La première étape à passer pour progresser se nomme semer. En effet,pour que l’arbre grandisse correctement et sainement, la chose la plus importante est de choisir un sol fertile et adéquat, ce qui donnera à la graine les meilleures conditions de croissance. Notre environnement n’est pas le seul à nous influencer, il ne se limite pas à ce que nous connaissons. Notre environnement se compose également de toutes nos aspirations à la connaissance sur notre monde, les informations qui détermine notre façon de penser et notre perception de la réalité.

Le déchet devient de l’engrais

Après avoir choisi un bon environnement, nous devons fertiliser le sol. La spiritualité qui jusqu’à présent était sans importance, et inutile – ayant tout juste la valeur d’un déchet - commence à prendre une place centrale dans nos vies. Nous commençons à comprendre les raisons des évènements dans notre vie; l’importance octroyée à la spiritualité ajoute une note positive dans nos vies, et nous recevons de nouvelles forces à chaque instant. Inversement, ce qui dans le passé nous semblait important devient caduc, se transforme en déchet, nous aidant à progresser spirituellement.

Creuser et examiner

Pour que la graine pousse et par la suite prendre racine également, il convient de préparer la terre. Le Rabash explique : comme on creuse profond pour un arbre, l’homme également doit creuser et examiner la raison de la venue dans ce monde. La recherche commence par la question sur le sens de la vie, cependant, lorsque nous nous élevons sur l’échelle spirituelle cette question se transforme en une source de lumière sur le chemin spirituel en vue du but. Nous apprenons comment creuser de plus en plus profond les strates de la réalité.

Oter les branches mortes

Dès notre l’enfance, nous subissons l’influence de notre environnement. Les valeurs inculquées forment nos désirs, nos vues sur la vie ainsi que notre approche de la réalité, et déterminent les fruits que nous souhaitons atteindre durant notre existence.

Cependant dans la plupart des cas, il nous reste à découvrir l’existence du véritable fruit, qui peut donner un sens à notre vie. Au fur et à mesure que l’homme se développe spirituellement, il commence à ressentir que la perception de la réalité avec laquelle il a été élevé, ne lui apporte pas satisfaction et ne fournit pas un sens à sa vie, et devient à ses yeux comme une branche morte.
Tout comme une branche desséchée sur l’arbre ne peut produire de fruit et par conséquent à enlever, nous devons nous aussi apprendre à enlever progressivement en nous ce qui nous retarde dans la compréhension de la véritable signification de nos vies.

Ceci n’est qu’une partie des actions que l’homme doit effectuer sur lui-même dans son chemin spirituel. Le Rabash poursuit son «mode d’emploi» en indiquant qu’il nous appartient de réaliser d’autres actions à des stades plus avancés de notre développement spirituel.

La fertilité de la terre

Tou Bi Shvat est le nouvel an des arbres et symbolise une nouvelle opportunité. La terre est fertile et adéquate à la notre développement, tout ce qu’il nous reste à faire est d’ajouter un peu de sagesse à nos vies.

source

La palme et le palmier

  La palme est d’abord l’arbre de vie, car elle provient du Paradis. Dans le Livre d’Hénoch éthiopien 24,3-25,6, le palmier est décrit comme un arbre au parfum exquis qui se trouve au Paradis. 1 Hén 24,4 affirme que le fruit de l’arbre odoriférant ressemble aux grappes de palmier. La palme est aussi l’emblème du jugement et de la victoire. Elle symbolise parfois le juste. Hermas, dans le Pasteur, n’hésite pas à présenter les justes couronnés de palmes. Méthode d’Olympe, dans son neuvième discours du Banquet, interprète la branche de palmier, qui servait de balai dans l’antiquité, comme un symbole d’ascèse qui purifie l’âme.

     La palme identifiée à l’arbre de vie en viendra à signifier dans la tradition chrétienne la croix de Jésus. Parmi les témoignages littéraires nous n’en citerons que quelques-uns. Une ancienne Homélie pascale attribuée à Hippolyte (SC 27, n. 50) traduit le symbole de la croix comme arbre de vie en ces termes : « Il a montré en sa personne toute la vraie vie pendue à l’arbre. Toi Israël, tu n’as pu en manger; mais nous autres, avec une connaissance spirituelle indestructible, nous en avons mangé et en en mangeant nous ne mourrons pas ». Ignace d’Antioche, dans sa lettre aux Tralliens 11,2 avait identifié également la croix à l’arbre de vie. Justin de Naplouse dans son Dialogue 86,1 compare lui aussi la croix à l’arbre de vie : « Les Écritures démontrent que le Christ, après sa crucifixion, deviendra glorieux et qu’il a comme symbole le bois de la vie qui fut planté au Paradis ». Clément d’Alexandrie reprend ce symbole en Stromates 5,11,72,2-3 : « Moïse dans son interprétation allégorique de la sagesse l’a (la croix) appelée arbre de vie planté dans le Paradis ».

source



AUTRES EN RAPPORT:

Le chandelier à 7 branches comme un ARBRE

Ce chandelier qui se décompose en sept branches, dont la branche principale, issue du pied est considérée comme étant celle du Judaïsme.

mercredi 4 mars 2009

Ce chandelier qui de décompose en sept branches, dont la branche principale, issue du pied est considérée comme étant celle du Judaïsme.
Les six autres branches représenteraient, comme dans un arbre généalogique, les six religions majeures issues du judaïsme।

- La première, l’Eglise Catholique ou Chrétienne, dont le symbole est un chandelier à trois branches : celle du centre : l’église catholique et, de chaque côté, les deux autres églises principales qui en dérivent: les Eglises orthodoxe et protestante.
Cette église, par la conversion de l’empereur Constantin, s’est contentée de convertir les peuples de l’Empire Romain en incluant dans ses fêtes et rites les diverses représentations de ces religions païennes.
Puis, elle a entrepris la conquête des continents, (Afrique, Asie, Amérique du Sud), après avoir converti les rois, empereurs de l’Empire romain Catholique. Cette conquête s’est réalisée par des guerres, génocides (surtout en Amérique du Sud) et conversions forcées. Elle a tremblé lors de la Révolution française, le règne de Napoléon Ier et la séparation de l ’Etat et de la religion par la France.
-Une branche mineure de l’église catholique, l’Eglise Anglicane : créée en Angleterre par Henry VIII, est restée fidèle aux principes catholiques et s’est étendue en Grande-Bretagne (Ecosse, Pays de Galles, Irlande) d’où elle a fait fuir les celtes, et a rayonné à travers le monde lors des conquêtes de l’Empire Britannique (Empire où le soleil ne se couche jamais)। Eglise considérée comme mineure, les églises catholique, protestante et orthodoxe ont toujours eu un regard bienveillant envers celle-ci.

- La deuxième, l’Eglise Orthodoxe : créée en 787 par Photios 1er de Constantinople et suivie par d’autres schismes, elle s’est développée dans les pays de l’Est de l’Europe et surtout en Russie, également par les conquêtes des empereurs et rois de ces pays et par des conversions forcées, massacres et génocides, comme son aînée। Reniée et haïe par l’Eglise catholique, n’a reçu aucun soutien de celle-ci lors de son anéantissement par Staline। Depuis l’éclatement de l’U।R।S.S., elle renaît, avec vigueur, de ses cendres.

- La troisième branche, l’Islam : Née en 622 (date de l’hégire) et créée par son prophète Mohammed, elle a conquis le Moyen-Orient, une partie de l’Afrique, le sud de l’Europe (Espagne, Grèce, Pays baltes, etc।) et une partie de l’Asie, toujours par les guerres des dirigeants de ces pays convertis (Empire Ottoman par exemple), massacres, génocides, conversions forcées. Mise sous éteignoir durant un certain moment, a repris sa conquête à travers le monde, surtout par l’immigration de son peuple, cherchant une vie meilleure dans les pays occidentaux.

- La quatrième branche, l’Eglise protestante : Créée en 1517 par Martin Luther et reprise par la « confession d’Augsbourg », a converti l’Europe où elle a subie de nombreuses attaques de l’Eglise et des rois, empereurs catholiques : guerres de religion de 1562 à 1598, St-Barthélémy et conversions forcées par la création d’une entité redoutée et effroyable : L’Inquisition ou Compagnie de Jésus। Suite à découverte de l’Amérique du Nord, elle a entrepris sa conquête par le génocide des peuples déjà établis (Indiens d’Amérique du Nord)

- La cinquième branche, l’Eglise évangélique : Eglise dérivée du protestantisme, prônant la lecture de la Bible dans ses travers les plus effroyables (créationnisme, éducation, femmes, etc॥), s’est développée surtout aux U।S.A. lors de la conquête de l’Amérique du Nord, bible à la main, par le génocide des indiens, puis par son imprécation dans tous les domaines, surtout en politique ( conservateurs, néo-conservateurs, chrétiens re-nés, dont Bush est le représentant le plus abominable) . Cette église s’est communiquée dans le monde par les guerres U.S. et surtout par les nombreux pouvoirs qu’elle possède (financier, médias, prédicateurs, dons, réductions d’impôts …) et les achats de conversions en Afrique, Amérique du Sud, Océanie et peu à peu dans tous les autres continents.

- La sixième et dernière branche, le « Talibanisme » : dérivée de l’Islam par les extrémistes les plus acharnés à relire l’Islam dans sa version « pure et dure », a pris son essor lors de la première guerre d’Afghanistan par l’apport de matériel militaire U.S. et devises diverses (Arabie Saoudite et U.S.A. notamment). Sa nouvelle version du Coran attire de plus en plus les musulmans, par sa haine contre les U.S.A. les attentats contre les pays ayant soutenu Bush lors de la guerre d’Irak) et de nombreux pays tels que l’Afghanistan, le Pakistan et l’ Irak). Elle continue sa progression dans les pays musulmans du Moyen-Orient et d’Asie, créant une menace permanente pour Israël et l’Inde.

source

Un arbre au nom d'Ilan

Sur une terre inculte on a planté un arbre,
Au détour d'un chemin, comme une plaque en marbre (1).
Pas loin passaient les trains poussant leurs hurlements,
Couvrant les cris d'Ilan de leurs sourds grondements.

Qui les a entendus au corps qui agonise,
Qui a vu qu'un enfant tremblait nu sous la bise,
Qui a su les douleurs endurées en son corps ;
Qui a pu profaner le respect dû aux morts ?

Comment imaginer ce qui est impensable ?
J'ai même vu pleurer les pelletées de sable ;
On a beau répéter qu'il y repose en paix,
Trois semaines c'est long, milliers d'éternités.

Les six millions de Juifs, en la période sombre,
Les nazis ont tout fait pour qu'ils ne soient qu'un nombre (2) ;
Voir images ou films, écouter les témoins,
Semblait un cauchemar ou fiction de martiens.

En Ilan comprends-tu, au ciel de sa souffrance,
Ce qu'ont pu endurer, d'Allemagne ou de France,
Chacun des déportés aux mains d'êtres sans lois ?
C'est lui qu'on suppliciait six millions de fois.

Sur une terre inculte on a planté l'érable ;
Sa sève à tout jamais gardera l'immuable
Des gouttes de ton sang, ta sueur et tes pleurs ;
Ne t'en fais pas Ilan, l'arbre pousse en nos cœurs.

27 Février 2006 © Charly Lellouche

(1) J'ai vu hier a la TV une cérémonie émouvante sur le lieu où on a trouvé le corps du pauvre Ilan z"al ;
Les habitants, non Juifs, y ont planté un arbre en disant :
"Ilan veut dire arbre en hébreu, alors nous plantons un érable qui va pousser ici".

Sans savoir sans doute, macabre coïncidence, qu'Ilan a été assassiné à Tou BiChvath, Jour de l'An des arbres dans le calendrier juif.

(2) Au cours de son procès, Eichmann osait : "avec Hitler, en tuant des millions de Juifs, on savait que ce chiffre serait inimaginable et ne représenterait plus qu'un nombre"
Charly Chalom Lellouche, Nathanya (30/04/2009)
Pauvre France
La France se vide...de son âme...
Et ce sont les Juifs qui trinquent
Le scénario se répète… Moshe B., Raanana ( 30-04-2009 )

source

aller voir ici  au sujet d'Ilan Halimi




KNTHMH

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