21 juin 2007
Le Huitième mort de Tibhirine, émission radio et rencontre-dédicace autour du livre
L'association Connexions Interculturelles (C.I.C.)
a le plaisir de vous convier à l'écoute d'une émission radio et à une rencontre / dédicace autour du livre
Le huitième mort de Tibhirine
de Rina Sherman
Préfacé d’Antoine Sfeir
« Devant ce travail colossal, minutieux, on ne peut que s'incliner… »
Éditions Tatamis, Paris, 2007 / Éditions Lazhari Labter & Le Soir d'Algérie, Alger, 2007
un entretien sur Radio Galère :
Radio GALÈRE - FM 88.4Mhz
Entretien avec Rina Sherman autour de son livre
Le huitième mort de Tibhirine
Avec Jean Tabet et Rachid Nafir
Dans l’émission Algérie, lutter pour espérer
de Louisa Benazzoul et Aziz Bensadek
Le vendredi 22 juin 2007 de 19h à 20h
Écouter l'émission de Radio Galère sur Internet : http://radio.galere.free.fr/
rencontre-dédicace autour du livre
Le samedi 23 juin 2007, 14h00 - 16h00
93, la Canebière, 13001 MARSEILLE,
Tél. : 04 91 55 39 50
À la maison des associations
Pour plus d’informations sur le livre : http://8e-mort-tibhirine.blogspot.com/
4e de couverture
Victime d’une campagne calomnieuse sans précédent, en février 2004, le grand reporter Didier Contant fait une chute mortelle d’un immeuble parisien alors qu’il s’apprêtait à publier son enquête sur la mort des moines de Tibhirine en Algérie en 1996. Les résultats d’un long travail d’investigation sur le terrain à Blida par l’ancien rédacteur en chef de l’agence Gamma confirment que les moines ont été enlevés et assassinés par le GIA (Groupe Islamiste Armé).
Mais à Paris, des confrères affirment auprès des rédactions parisiennes que Didier Contant travaillait pour les services français et algériens dans le cadre de son enquête sur les moines, déconseillant toute publication de son investigation. Ces lobbies, composés de journalistes, d’éditeurs, d’avocats et d’organisations de droits de l’homme, brandissent le témoignage d’un sous-officier transfuge de l’armée algérienne, tendant à prouver l’implication de l’armée dans le rapt des moines. Didier Contant vivait cette campagne calomnieuse comme une catastrophe professionnelle ; dépossédé de son honneur, de sa dignité et de la capacité de gagner sa vie, il ne put l’accepter.
Rina Sherman livre un témoignage saisissant sur la mort de son compagnon, Didier Contant. Pour rendre hommage à l’homme qu’elle a aimé, elle raconte avec brio leur grande histoire d’amour et la tragédie qu’ils ont vécues. Son récit se lit comme un roman, comme un thriller, dans lequel suspense, investigation et combat se confondent dans une réflexion essentielle : Il ne faut pas se taire afin que soit respecté l’un des droits fondamentaux de l’homme, celui de la liberté d’expression.
Lien article précédent: http://elguijaronegro.canalblog.com/archives/2007/05/20/5007517.html